Je pensais pas réécrire un jour dans un blog mais je suis poussée par un désir d'expression silencieuse...

Et c'est la bouche pleine de craquinettes que je débute ce petit texte :

Les blogs ça a un côté sérieusement lamentable, et c'est pleine d'amertume que je vous dis ça...

Raz le cul des skyblogs avec les photos débiles de machins qui dit à machin qu'il l'adore et que c'était trop bien quand ils ont mangé pour la première fois du caca en barre...

Stoïque : c'est bien joli, mais est ce réellement un sentiment accessible et n'est ce pas en un sens, de l'indifférence irrationnelle ?

Frigide : Peut l'on l'être réellement pleinement ? Je veux dire, n'y a-t-il pas un moment où la curiosité nous pique ne serait ce qu'un petit peu, ou peut être notre perversité ?

Ne faut il fau un peu de malheur pour vivre heureux ?